This article, a response to A. Vovin and L. Sagart’s criticism (in JA 2016) of C.I. Beckwith, examines their main arguments and several specific points. It turns out that their criticisms are based partly on the fact, which Vovin and Sagart demonstrate, that they did not actually read most of the article which they claim to criticize, and partly on their simple misunderstanding of its actual subject. The author shows point by point that their criticism is unfounded and their counter-arguments are invalid. In the course of the examination, significant points neglected by them are discussed, and the results of the original article of Beckwith (in JA 2014) are confirmed.
Cet article, une réponse à la critique de C.I. Beckwith par A. Vovin et L. Sagart qui a été publié dans JA (2016), examine leurs arguments majeurs et plusieurs points spécifiques. Il s’avère que leurs critiques sont basées en partie sur le fait, comme Vovin et Sagart a démontré, qu’ils n’a pas en réalité lu la plupart de l’article qu’ils prétendent critiquer, et en partie sur leur malentendu simple de son véritable sujet. L’auteur montre point par point que leur critique est sans fondement et leurs contre-arguments sont invalides. Au cours de l’examen, des points significatifs qu’ils avaient négligés sont discutés et les résultats de l’article original de Beckwith (dans JA 2014) sont confirmés.
目次
Abstract 211 Résumé 211 1. Introduction 211 2. Confusing Monasteries and Reliquaries 212 3. Data, Doctrine, and Not Reading 216 4. Pan Ku’s Rhapsody on the Two Capitals versus Non-Rhyming Rhymes 216 5. Reconstructing SSU 祠 Loc *DḖRĂ ‘Monastery’ 217 6. The Precursor of the Middle Chinese Rising Tone 218 7. Vovin versus the Hard Data 221 8. Conclusion 223 References 223
